Voici quelques jours, une « cliente » m’a confié le dernier livre du Dr Jean-Jacques Charbonier : Les Preuves scientifiques d’une Vie après la vie. J’ai lu et aimé ce livre ainsi que le courage de son auteur. En me rendant sur son site, j’ai lu qu’il travaille (en partie) à Lavelanet (Ariège), cette commune se trouve tout prés de Mirepoix où ma famille a ses racines depuis plusieurs générations….Synchronicité ?… terme que connaît bien Jean-Jacques Charbonier.
…Depuis les premières rencontres internationales sur les expériences de Mort Imminente (EMI) appelées aussi Near Death Expériences (NDE) qui se sont déroulées le 17 juin 2006 à Martigues sous la présidence du docteur Raymond Moody,
les recherches scientifiques se sont orientées sur la sortie du corps ou OBE (Out of Body Experience) vécue par les expérienceurs (personnes en EMI).
Un fait est certain, la phénoménologie liée à ces OBE reste de loin la plus mystérieuse et la plus incompréhensible.
A la rigueur, on pourrait admettre que les récits d’impressions de bien-être, de vision de tunnel, de lumière ou de rencontres mystiques soient secondaires à des processus hallucinatoires reproductibles par des neurostimulations cérébrales
mais, par contre, il est difficile de concevoir que des personnes en état de mort cérébrale soient également capables de décrire des situations se déroulant en temps réel à distance de leur corps physique… (Extrait d’un article paru sur NEXUS janvier / février 2009).
Un article ne suffira pas à comprendre l’étendue des découvertes du Dr Charbonier, je vous invite à lire ses livres.
J’en profite pour remercier toutes les personnes qui me confient leurs propres découvertes.
De plaines en forêts de vallons en collines
Du printemps qui va naître à tes mortes saisons
De ce que j’ai vécu à ce que j’imagine
Je n’en finirai pas d’écrire ta chanson
Ma France
Au grand soleil d’été qui courbe la Provence
Des genêts de Bretagne aux bruyères d’Ardèche
Quelque chose dans l’air a cette transparence
Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche
Ma France
Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd’hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma France
Celle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu’on la fusille
Ma France
Picasso tient le monde au bout de sa palette
Des lèvres d’Éluard s’envolent des colombes
Ils n’en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu’il est temps que le malheur succombe
Ma France
Leurs voix se multiplient à n’en plus faire qu’une
Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
En remplissant l’histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma France
Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstinée de ce temps quotidien
Du journal que l’on vend le matin d’un dimanche
A l’affiche qu’on colle au mur du lendemain
Ma France
Qu’elle monte des mines descende des collines
Celle qui chante en moi la belle la rebelle
Elle tient l’avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma France
La bible est un livre qui est fait de beaucoup de livres, et dans chacun d’eux beaucoup de phrases, et dans chacune de ces phrases beaucoup d’étoiles, d’oliviers et de fontaines, de petits ânes et de figuiers, de champs de blé et de poissons- et le vent, partout le vent, le mauve du vent du soir, la rose de la brise matinale, le noir des grandes tempêtes.
Les livres d’aujourd’hui sont en papier.
Les livres d’hier étaient en peau.
La bible est le seul livre d’air – un déluge d’encre et de vent.
Un livre insensé, égaré dans son sens, aussi perdu dans ses pages que le vent sur les parkings des supermarchés, dans les cheveux des femmes, dans les yeux des enfants.
Un livre impossible à tenir entre deux mains calmes pour une lecture sage, lointaine : il s’envolerait aussitôt, éparpillerait le sable de ses phrases entre les doigts.
On prend le vent entre ses mains et très vite on s’arrête, comme au début d’un amour, on dit je m’en tiens là, j’ai tout trouvé, enfin il était temps, je m’en tiens là, à ce premier sourire, premier rendez-vous, première phrase du hasard.
L’enfant partit avec l’ange et le chien suivit derrière.
Cette phrase convient merveilleusement à François d’Assise.
On sait de lui peu de choses et c’est tant mieux. Ce qu’on sait de quelqu’un empêche de le connaître. Ce qu’on en dit, en croyant savoir ce qu’on dit, rend difficile de le voir.
On dit par exemple : Saint-François-d’Assise. On le dit en somnambule, sans sortir du sommeil de la langue.
On ne dit pas, on laisse dire. On laisse les mots venir, ils viennent dans un ordre qui n’est pas le nôtre, qui est l’ordre du mensonge, de la mort, de la vie en société.
Très peu de vraies paroles s’échangent chaque jour, vraiment très peu. Peut-être ne tombe-t-on amoureux que pour enfin commencer à parler. Peut-être n’ouvre-t-on un livre que pour enfin commencer à entendre.
L’enfant partit avec l’ange et le chien suivit derrière.
Dans cette phrase vous ne voyez ni l’ange ni l’enfant. Vous voyez le chien seulement, vous devinez son humeur joyeuse, vous le regardez suivre les deux invisibles : l’enfant’rendu invisible par son insouciance– , l’ange’rendu invisible par sa simplicité.
Le chien oui, on le voit. Derrière. A la traîne. Il suit les deux autres. Il les suit à la trace et parfois il flâne, il s’égare dans un pré, il se fige devant une poule d’eau ou un renard, puis en deux bonds il rejoint les autres, il recolle aux basques de l’enfant et de l’ange. Vagabond, folâtre.
L’enfant et l’ange sont sur la même ligne. Peut-être l’enfant tient-il la main de l’ange, pour le conduire, pour que l’ange ne soit pas trop gêné, lui qui va dans le monde visible comme un aveugle dans le plein jour. Et l’enfant chantonne, raconte ce qui lui passe par la tête, et l’ange sourit, acquiesce’et le chien toujours derrière ces deux là, tantôt à droite, tantôt à gauche.
Ce chien est dans la Bible. Il n’y a pas beaucoup de chiens dans la Bible. Il y a des baleines, des brebis, des oiseaux et des serpents, mais très peu de chiens.
Vous ne connaissez même que celui-là, traînant les chemins, suivant ses deux maîtres : l’enfant et l’ange, le rire et le silence, le jeu et la grâce.
Le 7 novembre 2007 sortait en France dans les salles de cinéma, le film docu-fiction de William Arntz « Que sait-on vraiment de la réalité!? » Il s’agit d’une ?uvre qui réunit les sciences d’avant-garde et la quête spirituelle.
William Arntz est à la fois chercheur en physique, passionné par la réalisation de films, converti au bouddhisme et créateur de logiciel à succès.
La société MEDULA film a sorti un petit journal de quelques articles regroupés en un document de 4 pages de format PDF (1.87 MB).
Dans ce docu-fiction, un scénario mettant en scène une photographe (Marlee Matlin) est entrecoupé d’interviews de scientifiques et de séquences d’animation pour illustrer le lien étroit entre les lois de la physique et la vie de tous les jours.
Expliquant très clairement quelques découvertes scientifiques, ce film démontre que la physique quantique a de plus en plus tendance à se tourner vers la psychologie et la spiritualité pour se parfaire.
Amanda se voit plongée dans un tourbillon d’accidents quotidiens. Les personnages qu’elle rencontre lui dévoilent une nouvelle perception de ce que l’on appelle la « réalité ». Ils lui prouveront notamment que ses émotions affectent concrètement son environnement.
Comme tout héros Amanda se retrouvera en total désarroi, remettant en cause jusqu’aux fondements de sa vie. Mais à mesure qu’Amanda apprendra à maîtriser ses émotions, elle finira par dominer ses craintes et gagnera en sagesse. Elle ne sera plus victime des circonstances, et trouvera ainsi la façon de mieux contrôler sa vie en agissant consciemment et non plus en réaction aux événements. De nouveaux horizons jusqu’alors insoupçonnés s’offriront à elle…
QUE SAIT-ON VRAIMENT DE LA REALITE !? nous entraîne ainsi dans l’univers des possibles…
Les quatorze scientifiques et théologiens interviewés dans ce documentaire font office d’une sorte de ch?ur grec moderne. Dans une danse filmique astucieuse, leurs idées se tissent et illustrent l’enchevêtrement de l’histoire. Les pensées et les propos d’un membre du ch?ur font écho dans ceux du suivant, ajoutant ainsi de l’emphase au concept fondamental du film : l’inter-connectivité des éléments.
QUE SAIT-ON VRAIMENT DE LA REALITE !? utilise l’animation afin de nous démontrer les avancées radicales que la science a mises au service de la psychologie. Ces animations explorent le fonctionnement intérieur du cerveau humain et nous présentent la plus petite forme de conscience en action dans le corps : la cellule.
Faites avec humour et précision, ces scènes sont seulement une partie de ce qui rend ce film unique dans l’histoire du cinéma et en fait un véritable succès international.
»Que sait-on vraiment de la réalité!? » a reçu le Grand Prix du Jury au Festival du Film indépendant de Washington, le Platinum Remi Award du Festival International du Film de Houston ainsi que le Prix du Public au Festival International du Film de Maui.
Pour la première fois au cinéma, »Les Messages de l’eau, du docteur M. Emoto.
Les eaux bénites auraient-elles des fondements tangibles ? Pourquoi les eaux polluées du Gange n’affectent-elles pas des millions de fidèles qui chaque année viennent s’y plonger pour des raisons religieuses ?
Pendant longtemps personne n’a été capable de répondre à ces questions.
Les recherches d’Emoto sont depuis des années orientées sur ce qu’il appelle les énergies utiles. En utilisant des techniques de résonance magnétique et des microscopes électroniques, il s’est intéressé à l’étude de la structure profonde de ces eaux spéciales.
Il a très vite découvert que la meilleure façon de les analyser était de les porter jusqu’au seuil de la congélation et d’étudier la structure géométrique de leurs cristaux de glace.
Ce fut une énorme surprise. Les eaux « sacrées » montraient des structures harmoniques, tandis que les formes des eaux polluées étaient fortement désorganisées.
Ce qui est vraiment surprenant, c’est que l’eau réagit en se cristallisant de façon harmonique ou inharmonique, selon les stimulations extérieures auxquelles elle est soumise. Si elle entend du rock, l’eau se déstructure. Avec du Mozart, c’est le contraire qui se produit.
Il se passe la même chose en murmurant des mots discordants ou au contraire, doux, près de ces flacons d’eau.
L’eau a-t-elle la faculté de lire ? Et dans quelle mesure le résultat d’une telle étude est applicable à des êtres complexes comme les humains, qui sont constitués à 80% d’eau?
Cette recherche explique que les pensées et les émotions peuvent altérer la structure moléculaire de l’eau et nous fait comprendre comment les êtres humains et l’Univers sont intimement liés.
William Arntz, l’un des trois réalisateurs a dit ceci :
« Nous avons sillonné le pays pour recueillir les propos de personnalités brillantes afin de pouvoir filmer ce qu’elles avaient à dire. Nous pensions savoir ce qu’elles avaient à raconter, mais nous avons bientôt compris que leurs propos portaient en fait sur tout autre chose. Leur façon de voir les choses était, à maints égards, différente de la nôtre, différente d’une personne à l’autre, différente de ce qu’on nous a enseigné à l’école, différente de ce que prêchent les religions, et différente des manchettes des bulletins télévisés. En fin de compte, c’est à nous qu’il incombe de décider où se trouve la vérité et ce que nous devons mettre à l’essai dans notre vie. »
Si on veut approfondir les recherches : La plupart des scientifiques interrogés dans le film disposent de sites Internet sur lesquels ils prolongent leurs idées.