Bienvenue sur mon nouveau site

Bonjour et bienvenue sur mon nouveau site.

Après dix ans d’existence sur Internet, j’ai voulu faire des changements.

Nouveau site, plusieurs choses ont été corrigées :

Le tirage de Yi King à été simplifié, dorénavant, en cliquant sur une seule pièce, vous obtiendrez un résultat et le trait apparaîtra : Yin ou Yang.

Les tirages sont exactement les mêmes qu’avant mais un seul clic arrête les 3 pièces. Cela est plus proche de la réalité, lorsque vous jetez les 3 pièces, vous faites un jet pour un trait. Sur le site, le procédé est exactement le même.

Le paiement en ligne par carte bleue est assuré par la Banque Populaire, une banque sérieuse, qui propose des transactions sûres.

Après une décennie d’analyses de Yi King partagées au travers de vos consultations, j’ai tenu compte de vos réactions.

J’ai repris toutes mes analyses de Yi Jing et j’ai essayé de les rendre plus simples sans trahir ni l’esprit ni le sens du Yi Jing.

Cela à été un très gros travail, j’espère vous en serez satisfaits.

Les consultations de voyance ne changent pas, voyance découverte de 20 minutes (Tous domaines), voyance sur un thème (Amour, Travail, Famille, etc.) 30 minutes, voyance tous domaines 45 minutes.

Les consultations en cabinet restent les mêmes aussi avec ou sans tirage de Yi King.

Je souhaite développer le Yi Jing en proposant cette technique très efficace dans le domaine professionnel (création d’activité, développement, etc.). Mais aussi dans les domaines du développement personnel et spirituel.

Il reste encore quelques bugs sur le site, mais tout sera en place très rapidement.

Quelle que soit votre question concernant les différentes consultations, les possibilités de tirages de Yi Jing, le système de paiement, etc. N’hésitez pas à me joindre au 06.59.45.03.09, je vous répondrai avec plaisir.

Merci de donner avec franchise vos réactions à ce nouveau site.

Amitiés

Claude Sarfati

Chapitre XXVI. La Voie du Milieu

La Voie du Milieu est représentée par un axe vertical envisagé dans le sens ascendant ‘ du point de vue d’un être qui, placé au centre de l’état humain, tend à s’élever de là aux états supérieurs.

Lorsque cet être s’identifie à l’axe, pour lui le pôle terrestre ne fait plus qu’un avec le pôle céleste. Cet être finit par résorber l’axe en un point: ce point est le centre qui contient en lui-même toutes les possibilités, non plus seulement d’un êtat particulier, mais de la totalité de états manifestés et non-manifestés. (p. 209-210)

Le centre de l’être total est le Saint Palais de la Kabbale hébraïque.

Dans la Voie du Milieu il n’y a ni droite ni gauche, ni avant ni arrière, ni haut ni bas. Dès que l’être est parvenu au centre de son état de manifestation, il est au-delà de toutes les oppositions contingentes qui résultent des vicissitudes du yin et du yang. La succession temporelle s’est transformée elle-aussi en simultanéité au point central.

C’est pourquoi, suivant la parole de Lao-tseu, la voie qui est une voie (pouvant être parcourue) n’est pas la Voie (absolue), car, pour l’être qui s’est établi effectivement au centre total et universel, c’est ce point unique lui-même, et lui seul, qui est véritablement la «Voie» hors de laquelle il n’est rien. (p. 212)

René Guénon, La grande triade (extraits)

Chapitre XXV. La cité des saules

Le symbolisme de Tien-ti-houei a un caractère primordial.

Dabs l’initiation à la Tien-ti-houei, le néophyte, après être passé par différentes étapes préliminaires, dont la dernière est désignée comme le «Cercle du Ciel et de la Terre» (Tien-ti-kiuen), arrive finalement à la «Cité des Saules» (Mou-yang-tcheng), qui est aussi appelée la «Maison de la Grande Paix» (Tai-ping-chouang).

Le saule est, en Chine, symbole d’immortalité. Il équivaut à l’acacia dans la Maçonnerie ou au rameau d’or dans les mystères antiques.

…celui qui y est parvenu échappe par là même au mouvement de la «roue cosmique» et aux vicissitudes du yin et du yang, donc à l’alternance des vies et des morts qui en est la conséquence, de sorte qu’il peut être dit véritablement «immortel»; et, suivant la seconde signification, il y a là une allusion assez explicite à la situation «extra-cosmique» du «faîte du Ciel».“ (p. 203)

La Grande Ourse (sapta-riksha) est regardée symboliquement comme la demeure des sept Rishis, ce qui en fait bien un équivalent du «séjour des Immortels».

Ton arton ton epiousion (du texte grec de Pater) ne signifie nullement ‘le pain quotidien“, comme on a l’habitude de la traduire, mais bien littéralement «le pain supraessentiel», ou «supracéleste» si l’on entend le Ciel au sens extrême-oriental, c’est-à-dire procédant du Principe même et donnant par conséquent à l’homme le moyen de se mettre en communication avec celui-ci.

Récapitulation de toute la Maçonnerie ou description et explication de l’Hiéroglyphe universel du Maître des Maîtres, ouvrage anonyme attribué à Delaulnaye.

La lettre hébraïque iod, première du Tétragramme, représente le Principe, de sorte qu’elle est regardée comme constituant à elle-seule un homme divin. Sa valeur numérique est 10. La lettre I de l’alphabet latin est aussi un symbole de l’Unité.

qu’il s’agisse du iod hébraïque ou du i chinois, ce «premier nom de Dieu», qui était aussi, selon toute vraisemblance, son nom secret chez les Fedeli d’Amore, n’est pas autre chose, en définitive, que l’expression même de l’Unité principielle.“ (p. 208)

René Guénon,  »La grande triade » (extraits)

Chapitre XXIV. Le Triratna

Triratna hindou (le triple joyau) ‘ Buddha, Dharma, Sangha.

Sangha (hindou) ‘ assemblée (ou église ‘ selon le sens étymologique). Sangha est la communauté bouddhique, mais aussi l’Humanité même. Elle occupe une position centrale. Tout est envisagé par rapport à elle.

Les Arhats ont atteint le degré de l’ homme véritable.

Les Bodhisattwas correspond au degré de l’ homme transcendant.

Buddha est l’élément transcendant, à travers lequel se manifeste l’influence du Ciel, et qui, par suite, incarne cette influence.

Dharma est principialement la loi, mais le mot a en sanscrit des sens multiples, qui rendent une définition générale impossible. Sa racine, dhri, signifie porter, supporter, soutenir, maintenir. Il s’agit donc d’un principe de conservation, de stabilité (qui se rapport au monde substantiel). Il comprend aussi une idée de destin, de nécessité ou de contrainte. Son principal symbole est la roue.

Pratyêka-Buddha, qui est parvenu au terme de la réalisation totale, n’a aucun rapport avec le Dharma.

Buddha se situe du côté des influences célestes, tout comme Dharma est du côté des influences terrestres.

René Guénon, La grande triade (extraits)

Chapitre XXIII. La roue cosmique

Dans Absconditorum Clavis de Guillaume Postel on trouve le ternaire Deus, Homo, Rota. Le troisième terme est la roue cosmique, symbole du monde manifesté. Les Rosicruciens l’appellaient Rota Mundi.

On peut donc dire que, en général, ce symbole représente la «Nature» prise, suivant ce que nous avons dit, dans son sens le plus étendu; mais il est en outre susceptible de diverses significations plus précises, parmi lesquelles nous envisagerons seulement ici celles qui ont un rapport direct avec le sujet de notre étude.“ (p. 187)

La roue est assimilable au cercle, dont le centre est le Principe et la circonférence représente la manifestation.

En astrologie, c’est le signe du Soleil. En alchimie, c’est le signe de l’or. En numérologie correspond au dénaire (10). Le centre est unité et la circonférence multiplicité.

Les formes de roue qu’on rencontre le plus habituellement sont les roues à six et huit rayons, et aussi à douze et seize, nombres doubles de ceux-là. La plus simple est la roue partagée en quatre.

Il existe dans le symbole de la roue un ternaire constitué par le centre, le rayon et la circonférence. Il correspond respectivement au Ciel, à l’Homme et à la Terre.

voir: Louis-Claude de Saint-Martin, Tableau naturel des rapports qui existent entre Dieu, l’Homme et l’Univers.

(…)On doit donc se représenter l’homme, assimilé au rayon de la roue, comme ayant les pieds sur la circonférence et la tête touchant le centre; et en effet, dans le « microcosme », on peut dire que sous tous les rapports, les pieds sont en correspondance avec la terre et la tête avec le ciel.

C’est pour affirmer encore davantage cette correspondance, déjà marquée par la forme même des parties du corps aussi bien que par leur situation respective, que les anciens Confucianistes portaient un bonnet rond et des souliers carrés…

René Guénon, La grande triade (extraits)