1960. Rome et l’Italie tout entière se préparent à vivre à l’heure des Jeux Olympiques. Dans la sauvage campagne calabraise, un petit paysan, Mimi, n’a qu’une passion, courir, encore et toujours bien que son père, Nicola, ne soit pas d’accord. Pour lui, le seul avenir de son fils ce sont ses études et le travail de la terre.
« On voit ce qui a pu séduire Comencini dans cette histoire : la volonté d’un enfant d’affirmer son autonomie face aux adultes, de se faire reconnaître dans son identité longtemps offusquée par des millénaires d’assujettissement des enfants aux choix que les parents font à leur place, d’échapper à la condition de bête de somme à laquelle on aurait voulu le réduire. A cet égard, la séquence du travail de Mimi dans une corderie, atelier qui ressemble davantage à un lieu de bannissement et de travaux forcés qu’à une entreprise destinée à donner un emploi à des êtres humains, en dit long sur la volonté de Comencini de dénoncer un scandale : le travail des enfants en lieu et place de la scolarisation, problème typique d’une Italie méridionale et d’une économie souterraine qui considèrent déjà l’enfant sous l’angle de la capacité productive.
Luigi Comencini est le réalisateur italien sur l’enfance, il sait nous montrer que nos vrais rêves viennent de notre enfance. Rien, si ce n’est nous-mêmes, ne peut nous empêcher de les réaliser.
Bonne écoute, ce film ne peut se trouver en dvd que dans la version italienne..
Tout ce que nous voyons n’est qu’un rêve, nous pouvons seulement connaître ce en quoi nous croyons. Et tout le reste n’est qu’illusion….
Les 7 clés de la voyance
Naît-on medium ou le devient-on ?
par Claire Davryle et Jean-François Rottier
Editions Exergue
Voyage initiatique au cœur de votre vie, le livre “Les 7 clés de la voyance” vous invite à franchir le 7 portes de votre destin, à le façonner et à le construire pour la plus belle des rencontres : celle avec vous-même.
Pour vous accompagner dans ce voyage, nous vous proposons dans ce guide une belle sélection de professionnels en France, Suisse et Belgique : qu’ils soient voyants, mediums, astrologues, tarologues ou numérologues, ils jouissent d’une excellente réputation forgée sur la confiance que leurs consultants leur témoignent depuis de nombreuses années.
Voyance ou intuition ? Voyance ou psychologie ? Voyance ou don ? Naît-on voyant ou le devient-on? Cet ouvrage répond à ces questions et à bien d’autres.
Première clé
En franchissant la première porte, vous remonterez le temps et découvrirez combien la voyance rend justice à ce que l’homme possède de meilleur : depuis la nuit des temps, rois, dieux et hommes sont reliés entre eux grâce à leurs convictions et leur capacité à lever leurs doutes.
Deuxième clé
N’hésitez pas à vous diriger alors vers la deuxième porte, car elle donne accès à votre cœur, et vous emmène au-delà de vous-même. Vous comprendrez alors comment le voyant peut vous accompagner sur votre chemin de vie, celui de vos vrais désirs. A ce moment-là, vous serez invité dans le monde de Claire Davryle, auteur du livre, voyante reconnue exerçant son activité dans son cabinet parisien depuis plus de 20 ans.
La troisième clé
La troisième clé : rencontre intime avec Claire Davryle
En vous ouvrant les 7 portes, Claire voyage en votre compagnie dans un pays où le temps n’existe pas. Artiste et épicurienne, Claire vous invite dans son monde. Si, à votre tour, vous la conviez dans le vôtre, elle saura vous guider en regardant au-delà de vous-même, là où votre conscience s’arrête, là ou la confiance s’installe.
Mêlant l’art et la manière, les prédictions de Claire sont justes, précises et vérifiables, et vous incitent à une réflexion profonde sur vous-même, territoire où tout jugement ou parti-pris sont absents. Claire est avant tout une dame de cœur dont la voyance s’est imposée comme une évidence à travers des flashs répétés reçus depuis l’enfance et qu’elle a développés au fil des années à la manière d’un musicien qui, inlassablement, rejoue ses gammes.
Tel Jean-Benoît, l’enfant devenu voyant, puis astrologue réputé sous le nom de Jean-François Rottier (le coauteur) et qui s’est initié à la voyance avec une grande humanité au gré de rencontres passionnantes à travers le monde. En allant le consulter, vous vous rendrez compte combien Jean-François est le personnage que vous souhaitez connaître, celui qui parle à votre cœur, qui raconte l’histoire de votre vie et vous rappelle que vous en êtes le héros ou l’héroïne.
Il était une fois….. Quand je serai grand, je serai voyant…. Qui sait ?
Quatrième clé
La réponse se trouve sûrement derrière la quatrième porte. Elle vous ouvre les 7 chemins de la voyance qui vous permettront de découvrir si votre don peut être développé et de quelle manière.
La cinquième clé
En ouvrant la cinquième porte, participez au grand jeu de l’intuition !
La sixième clé
Vous êtes presque arrivé au bout du chemin ! La sixième porte vous donne le choix de votre support…
La septième clé
A l’instant où vous franchirez la septième et dernière porte, l’heure sera venue d’écrire à votre tour les chapitres de votre avenir, ainsi que celui de vos proches. Entendez-les déjà frapper et demander : « Le voyant est-il là ? »
Contacts :
Claire Davryle
01 45 74 04 08
J’ai repris mot pour mot le communiqué de presse concernant cet excellent ouvrage dans lequel j’ai le la fierté et le plaisir d’être cité parmis la cinquantaine de praticiens retenus.
Voici ce qui est écrit à mon sujet:
« Sa consultation est intelligente, gaie et rythmée. Ecoutez bien car l essentiel est dit avec beaucoup de finesse. Une des rares adresses à utiliser le Yi-King, système de divination chinoise, qu’il utilise avec brio et sagesse. Riche d’enseignements, vous ressortez de sa consultation armé et averti. Un homme doté d’une rare générosité pour une réelle bonne adresse. »
Je remercie Claire Davryle, qui m’a consulté pour « apprécier » mes compétences et Jean-François Rottier.
Le Yi King est à nouveau remarqué, apprécié, reconnu…
Voici un lien pour vous procurer ce guide très complet. ICI
Le Yi King à été inventé par des paysans qui observant la nature et la répétition des saisons ont compris « Les lois de la transformation », je vous propose une ballade à la campagne sur un thème musical issu d’un film de Pedro Almodovar : Parle avec elle…
Dimanche premier mai, aura lieu la béatification de Jean Paul II à Rome.
Qu’est-ce une béatification? Comment cela se passe?
Karol Józef Wojtyła, devenu le pape Jean Paul II, va être béatifié dimanche prochain, six ans après sa mort. Près de 300.000 personnes sont attendues à Rome pour cet événement.
Qu’est-ce qu’une béatification?
La béatification est un «acte solennel par lequel le pape, usant de sa propre autorité, proclame bienheureuse une personne décédée», selon le dictionnaire Le Trésor de la langue française. Pour être proclamé bienheureux, le chrétien ou la chrétienne aura exercé sa foi de manière exemplaire ou héroïque durant sa vie. La validation d’un miracle est aussi nécessaire: Dans le cas de Jean Paul II, le miracle concerne une religieuse française. La sœur Marie Simon-Pierre, qui était atteinte de la maladie de Parkinson, a guéri soudainement.
Est-ce que Jean Paul II va devenir un saint?
La béatification est différente de la canonisation, un rituel par lequel le bienheureux devient un saint. Pour que Jean Paul II devienne saint, il faudrait qu’un second miracle lui soit attribué.
Pourquoi une béatification six ans après sa mort?
Fait exceptionnel, Jean Paul II devient bienheureux six ans et un mois seulement après sa mort, survenue le 2 avril 2005. Ce jour-là, ses fidèles réclament sa sanctification immédiate, en criant notamment «Santo subito». Le pape actuel, Benoît XVI, n’a pas attendu cinq ans pour commencer l’examen du cas de Jean Paul II, ce qui est la règle. Pour quelles raisons? Jean Paul II a été un pape exceptionnel, tant par la longévité de son pontificat, 27 ans, que pour ses nombreuses actions politiques.
Comment se déroulent les manifestations?
Les manifestations se passent sur plusieurs jours, de vendredi à dimanche . Vendredi, la tombe de Jean Paul II va être ouverte et son cercueil porté au centre de la basilique Saint-Pierre.
Samedi soir, une veillée se tiendra dans le centre de Rome, avec la tenue d’une célébration et des prières. A la fin de la veillée, les fidèles pourront faire, s’ils le souhaitent, une «Nuit blanche de la prière».
Un parcours balisé, menant à différentes églises de Rome, les conduiront progressivement vers la basilique Saint-Pierre. Les églises proposeront des accueils, et les transports en communs fonctionneront presque toute la nuit de samedi à dimanche.
Dimanche matin, devant tous les fidèles, une invocation se tiendra à 9h, avant une messe, qui débutera à 10h. A la fin de la célébration, Benoît XVI, le pape actuel, se recueillera devant le cercueil de Jean Paul II. Les fidèles pourront ensuite défiler silencieusement devant la dépouille du nouveau bienheureux.
Une relique de Jean Paul II, constituée d’une ampoule de son sang, va être également exposée dans un reliquaire.
Combien ça coûte ?
Lors d’une récente conférence de presse conjointe avec le cardinal Agostino Vallini, vicaire de Rome, le maire de Rome, Gianni Alemanno a évalué à 3,5 millions d’euros le coût des trois jours -le 30 avril, les 1er et 2 mai- qui verront se dérouler à la fois la béatification et la Fête annuelle du travail, avec les traditionnels concerts organisés par les syndicats.
Concernant l’affluence prévue pour cette béatification, 300.000 pèlerins et visiteurs sont annoncés par l’Œuvre romaine des pèlerinages, l’institution organisatrice de l’événement pour le Vatican.
Que vont faire les autorités françaises?
Le président de la République n’assistera à la cérémonie de béatification, contrairement à ce qu’il avait un temps envisagé. C’est le Premier ministre François Fillon qui représentera la France à cette béatification, car «la France est la fille aînée de l’église», a récemment déclaré le porte-parole du gouvernement François Baroin.
Une position qui a fait bondir l’opposition. Le PS a jugé récemment cette décision de la France «particulièrement choquante», car «la France n’est pas la fille aînée de l’Eglise, c’est «une République laïque».
Hormis le président italien Giorgio Napolitano et le président polonais Bronislaw Komorowski, aucun autre chef d’Etat étranger ne devrait être présent à Rome pour la cérémonie.
Vous pouvez suivre toutes les manifestations liées à cet évenement sur: Ktotv
Le décès d’Elizabeth Taylor a particulièrement touché Line Renaud. Les deux femmes étaient liées par l’amitié, mais aussi par la lutte contre le sida, qu’elles ont contribué à lancer, l’une aux États-Unis, l’autre en France. Pour nous, Line se souvient de la star américaine…
Line Renaud, dans quelles circonstances vous êtes vous rencontrées ?
C’était en 1950, elle avait 18 ans et moi 21. Elle était à Paris en voyage de noces avec Conrad Hilton, son premier mari. Le duc et la duchesse de Windsor ont organisé une soirée en son honneur et j’ai été invitée. En la voyant, j’ai eu un choc de beauté. C’était aussi la première grande star américaine que je rencontrais.
Vous vous êtes revues…
La vie a voulu que j’aille chanter aux États-Unis quatre ans plus tard. Liz est venue voir mes spectacles à Los Angeles et à Las Vegas. Nous avions aussi Gregory Peck et sa femme comme amis communs.
Comment avez-vous découvert son engagement dans la lutte contre le sida ?
En 1985, elle m’a invitée au premier gala de lutte contre le sida. Elle avait compris qu’il fallait médiatiser cette cause, sachant que les pouvoirs publics ne le feraient pas et qu’il y avait urgence. La soirée était retransmise sur une grande chaîne américaine et toute la communauté de Hollywood était là.
Cela a-t-il été un déclic pour vous ?
À l’époque, personne ne parlait du sida. J’ai découvert le virus lors de cette soirée. Son ami comédien Rock Hudson est décédé juste après. J’ai été invitée au journal télévisé en France pour parler d’Elizabeth et de son combat. Quand je suis rentrée chez moi, mon téléphone n’arrêtait pas de sonner. Dalida, Thierry Le Luron, Bernadette Chirac, Michel Leeb, Raymond Devos, Nana Mouskouri, Johnny m’appelaient pour me demander de faire comme elle.
Elizabeth vous a-t-elle alors soutenue ?
Elle m’a dit : « C’est la cause la plus difficile que tu auras à défendre ». Elle est venue à la soirée en novembre 1985, avec Audrey Hepburn. Nous avons récolté un million de francs, qui a payé la première centrifugeuse à l’Institut Pasteur. Je n’aurais jamais imaginé être encore là vingt-six ans après : comme Elizabeth, je n’ai jamais baissé les bras et je ne les baisserai jamais !
A savoir
Deux chaînes se sont ralliées cette année au Sidaction : I>télé et MTV. « C’est merveilleux, nous avons besoin de ce Sidaction, car c’est la seule association à fonds privés à soutenir la recherche contre le sida. Il y a encore 7 000 contaminations par an en France, dont 15% sont des jeunes de moins de 25 ans », explique Line Renaud.