C’est le monde, Ailleurs comme ici

revolution arabe

Départ vers le sud pour quelques jours…

Du dimanche 6 mars au dimanche 13 mars inclus.

Les consultations reprendront le lundi 14 mars.

Vous pouvez me laisser un message : 06.59.45.03.09

Une pensée pour nos frères arabes…

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A chaque heure, A chaque seconde
Tout le monde, Ailleurs comme ici
N’a qu’une seule chose au monde
C’est le monde, Ailleurs comme ici
Pourtant qui se moque du monde
Notre monde, enfin celui-ci
J’entends les murs qui me répondent
Tout le monde, tout le monde

Qui ne sait pas qu’on se ressemble
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Qui ne sait plus rien faire ensemble
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Y a des moments parfois j’en tremble
Tout le monde, et c’est ainsi
Ne voit que ce que bon lui semble
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Ailleurs comme ici 

 

La nuit j’en perdrai le sommeil
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Refait ce qu’il a fait la veille
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Hier déjà c’était pareil
Tout le monde, Même avec des « Si »
Veut garder sa place au soleil
Tout le monde, Ailleurs comme ici

Moi je crois que le monde est tout
Tout le monde, malgré tout
Pourtant tout le monde l’oublie
Tout le monde, jour et nuit
Moi je crois que le monde attend
Tout le monde, tout le temps
Que le monde soit vraiment lui
Tout le monde, et lui aussi

Je le dis face à l’inconnu
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Devrait mettre son cœur à nu
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Il faudrait retrouver la vue
Dans ce monde, encore en sursis
Ce qui est perdu est perdu
Pour tout le monde, Ailleurs comme ici…

Hélène Segara

Ailleurs comme ici (2005)

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Bon dimanche,

Claude Sarfati

Laissez passer l’homme libre

des hommes et des dieux 2

Parti favori de cette 36ème cérémonie des Césars, Des Hommes et des Dieux, de Xavier Beauvois, a empoché vendredi 25 février le prix du meilleur film. Nommée dans onze catégories, l’histoire des moines de Tibéhirine, enlevés et assassinés en Algérie en 1996, est repartie avec trois récompenses.

Pour Beauvois, 43 ans, ce film délivre « la parole d’intelligence«  des moines: « Une parole qui dit qu’il ne faut pas avoir peur des autres, il faut juste se parler. C’est un message d’égalité, de liberté, de fraternité ». L’occasion, pour le réalisateur d’une mise au point : « Je n’ai pas envie que dans la campagne électorale qui arrive, on dise du mal des Français musulmans. J’ai envie qu’on soit avec eux, c’est la leçon de ce film », a-t-il insisté.

Michael Lonsdale, interprète de Frère Luc dans le film, a enfin été récompensé, pour la première fois à près de 80 ans, par le César du meilleur second rôle : « Ah petit coquin, tu en as mis du temps ! » a-t-il souri, avant d’ajouter aussitôt : « Mieux vaut tard que jamais.

Prix du jury très mérité au dernier Festival de Cannes, Des hommes et des dieux retrace le parcours des moines de Tibéhirine pendant les mois qui ont précédé leur assassinat en 1996, depuis le moment où ils sont devenus la cible des extrémistes du GIA jusqu’à celui où ils ont été enlevés, avant de disparaître dans des circonstances qui restent aujourd’hui encore à élucider. Leur cheminement spirituel est le sujet de ce long-métrage, le cinquième de Xavier Beauvois, à qui l’on doit Nord, un premier film d’une âpreté poignante, puis d’autres comme N’oublie pas que tu vas mourir ou Le Petit Lieutenant.

D’abord plongés dans le chaos par la peur qu’a engendrée chez chacun la perspective de sa propre mort, et qui a d’abord fait chanceler la cohésion du groupe, ces sept hommes ont finalement pris collectivement la décision de ne pas plier devant la violence. Refusant de piétiner l’idéal de fraternité auquel ils ont voué leur vie, ils ont choisi de rester dans le monastère plutôt que de rentrer en France comme on les poussait à le faire, certains en ayant d’ailleurs eu la tentation. Ils n’ont pas davantage accepté la protection que leur proposait l’armée.

Les dieux étant nombreux, ce qui intéresse le cinéaste dans cette tragédie relève moins du martyre des moines, que de la conscience – éthique, politique – des hommes qu’ils sont, et des questions existentielles que pose leur confrontation avec cette force armée qui piétine tout ce en quoi ils croient. Comment éprouver la liberté ? Qu’est-ce qu’une communauté ? Peut-on être soi en niant l’existence d’autrui ?

On peut, on doit, même, envisager ce film comme une profession de foi. Mais c’est dans le cinéma que Beauvois a toujours placé la sienne, et qu’il la place ici plus que jamais. Confiant dans le talent de sa chef opératrice, Caroline Champetier, dans celui de ses acteurs dont il a visiblement obtenu une adhésion totale, il signe une mise en scène puissante et dépouillée, délibérément lyrique, en s’inspirant du mode de vie hyperritualisé de l’ordre cistercien-trappiste auquel appartenaient les moines de Tibéhirine.

des hommes et des dieux

Maestria soufflante

La prière, les chants à l’unisson, les réunions au cours desquelles se prennent, à l’issue d’un tour de parole et d’un vote, les décisions engageant la vie de la communauté, et qui témoignent ici de la réduction progressive des antagonismes vers une communion spirituelle, structurent le film. Mais la place est faite, aussi, aux moments partagés avec les villageois (travail de la terre, dispense de soins, fêtes familiales…), dans le respect de l’islam.

Ou encore à des tête-à-tête, comme celui dans lequel Frère Luc, le médecin (Michael Lonsdale, à son meilleur), explique à Frère Christian, le chef de la communauté (Lambert Wilson, qui révèle dans ce film un charisme totalement inédit), qu’il ne craint nullement la mort. Au moment de quitter la pièce, la voix étouffée dans un petit sourire malicieux, il a cette phrase merveilleuse qui est aussi bien le programme du film : « Laissez passer l’homme libre… »

Les plans parlent d’eux-mêmes, chaque détail enrichissant le récit sans qu’il soit besoin de commentaire. Le partage d’un plateau de frites, la lecture à haute voix d’une chronique de L’Equipe, ou celle, pour soi, des Lettres persanes, suffisent à poser une atmosphère, une idée, une personnalité. Cette même économie narrative permet de donner leur place à sept personnages principaux – ce n’est pas rien -, sans parler des autres, les villageois, ou les terroristes du GIA dont l’irruption rompt brutalement l’harmonie ambiante.

Après avoir ordonné à tous les étrangers de quitter le pays, après avoir égorgé, aux abords du village, un groupe de Croates, ils frappent à la porte du monastère une nuit de Noël, exigeant de Frère Christian qu’il mette son médecin à leur disposition. Le refus que celui-ci leur oppose, et qu’il redouble en n’acceptant pas non plus de leur donner les médicaments destinés aux villageois, signe, il le sait, son arrêt de mort et celui de ses frères, à court ou à moyen terme.

S’en remettant à la majesté aride des paysages de l’Atlas (marocain pour le tournage), à l’épure laiteuse des robes des moines, à la rythmique du rituel, Xavier Beauvois joue avec les travellings avec une maestria soufflante, fait le grand écart entre Sergio Leone, Coppola et Pasolini, conduisant son film vers un final extravagant, à multiples détentes.

Deux scènes en particulier, qui figurent l’aboutissement de la communion spirituelle des moines en icône de la résistance, témoignent d’une audace peu commune dans le cinéma français d’aujourd’hui. La puissance qui s’en dégage conduit à se demander si, à l’heure des échanges mondialisés, il n’y a pas un effet libérateur à raconter des histoires qui s’affranchissent des frontières hexagonales.


 

Des hommes et des dieux, film français de Xavier Beauvois avec Lambert Wilson, Michael Lonsdale, Olivier Rabourdin.

Source : Le Monde, Isabelle Regnier

Bonne lecture, bon film, bon dimanche: Claude Sarfati.

Bonne année du lapin

nouvel an chinois

 

Depuis le 3 février 2011 et jusqu’au 22 janvier 2012, nous avons quittés l’année du Tigre de métal pour entrer dans l’année du lapin bois ou du chat (selon les traductions).

3 février 2011 – 22 janvier 2012

La fête du nouvel an asiatique est à l’origine la fête du solstice d’hiver qui marquait la fin de l’hiver et l’arrivée prochaine des beaux jours, cette fête remonte à l’Antiquité et à l’époque était surtout fêtée par les paysans. C’est sous la dynastie des Zhou (1122 av. JC-256 ap JC) que le solstice d’hiver commença à marquer le début de la nouvelle année lunaire, l’empereur ce jour-là devait accomplir des rites en l’honneur du ciel, petit à petit cette coutume se popularisa pour devenir le jour de la vénération du ciel et des ancêtres. Elle débute le onzième jour du onzième mois du calendrier lunaire pour s’achever le dernier jour du douzième mois lunaire.

Jour de solstice d’hiver

(Source : China.org.cn)

Il y a plus de 2 500 ans, à l’époque des Printemps et Automnes (770-221 av. J.-C.), la Chine a déterminé avec le cadran solaire primitif le solstice d’hiver. C’est la première partie qui fut déterminée parmi les 24 périodes de l’année climatique. Elle se situe entre les 22 et 23 décembre. Lors du jour de solstice d’hiver, la journée est la plus courte et la nuit la plus longue dans l’hémisphère Nord. Après ce jour, les journées deviennent plus longues et l’aspect yang se rehausse, débutant un nouveau cycle. Il est donc considéré en Chine comme un jour favorable.

La célébration du Jour de solstice d’hiver date de la dynastie des Han (206 av. J.-C.-220). Elle est devenue régulière sous les dynasties des Tang (618-907) et des Song (960-1279). Sous la dynastie des Han, le solstice d’hiver a été considérée comme la fête d’hiver et une cérémonie de célébration officielle devait être organisée chaque année. Ce jour-là, les fonctionnaires bénéficiaient d’un jour de congé, l’armée restait sur place, la passe frontalière était fermée, les boutiques restaient fermées et les amis se rendaient visite, en offrant mutuellement un cadeau. Sous les dynastie des Tang et des Song, les gens du peuple offraient ce jour-là un sacrifice aux ancêtres et présentaient leurs meilleurs vœux à leurs parents. L’empereur participait, lui, à la cérémonie du culte au Ciel organisée dans la banlieue de la capitale. Dans les documents de la dynastie des Qing (1644-1911), on lisait cette inscription : « le solstice d’hiver est plus important que la fête du Printemps ». Cela montre que les ancêtres attachaient une grande importance au Jour de solstice d’hiver.

Lors du solstice d’hiver, on a coutume de manger des huntun (soupe de petits raviolis) dans certaines régions du nord de la Chine et des raviolis dans certaines autres régions. Ces repas permettaient aux gens de ne pas craindre le froid ; dans le sud, on mange des haricots rouges cuits afin de chasser les épidémies et les démons ou des tangyuan (boulettes de riz glutineux fourrées). Tangyuan qui peut aussi être offerts comme offrandes aux ancêtres ou comme cadeau aux amis. Dans la province de Taiwan, la tradition d’offrir des gâteaux neuf-feuilles aux ancêtres le jour de solstice d’hiver, s’est maintenue jusqu’à aujourd’hui ; les offrandes peuvent être également des gâteaux de farine de riz glutineux en forme de coq, de canard, de tortue, de cochon, de bœuf ou de mouton, cuits à la vapeur. Ce jour-là, les gens d’un même clan se rassemblent dans le temple des ancêtres du clan pour se prosterner, selon l’ordre de leurs générations, devant les tablettes des ancêtres. Après la fin des rites, ils festoient ensemble.

Le dernier jour de l’année lunaire

Veille du Nouvel An lunaire ou Chuxi, le dernier jour de l’an, est l’une des plus importantes fêtes traditionnelles chinoises. La légende raconte qu’il y a bien longtemps, à l’époque des grandes crues, existait un monstre vicieux nommé Nian, qui signifie « année ». Chaque dernière nuit du mois lunaire, ce monstre sortait de la mer, tuait les habitants et faisait des ravages dans leurs champs et jardins. Seules deux familles en sortirent indemnes. La première, un couple de jeunes mariés, dont les habits de fête étaient rouges comme le feu, ce qui fit peur au monstre, qui n’osa pas aller vers eux. L’autre famille s’en sortit indemne grâce aux enfants qui jouaient avec des pétards, dont le bruit effraya le monstre. Depuis, les gens portent des habits rouges, font exploser des pétards, et mettent en place des décorations rouges afin de garder le monstre Nian la plus loin possible. Toujours selon la légende, l’empereur Star fit disparaître Nian et tout le monde retrouva la paix.

lapin

Comment reconnaître les natifs du Lapin?

Les gens nés dans l’année du lapin sont les plus chanceux parmi les « douze animaux ». Le lapin est un symbole de la miséricorde, l’élégance, l’amabilité et le culte de la beauté. Les personnes nées dans cette année sont discretes, parlent doucement,sont  paisibles, calmes et aiment les personnes. Ils aiment à vivre une vie facile.  Ils aiment  les arts et l’amour ont un sens aigu de la justice. Quoi qu’ils fassent, ils vont commencer bien et finissent bien.  Cette qualité peut donner  des savants. Ils sont également bien adaptés au travail dans les ministères, être actif sur la scène politique. Il peuvent faire la sourde oreille aux conseils d’autres personnes, être incapables de revenir auprès de ceux qui les critiquent. Pour ceux qu’ils aiment, ils sont doux et gentils, alors que pour d’autres personnes, ils peuvent être de pure forme et sans conviction, même froids et sans pitié.  Comme ils sont raffinés et cultivés et indulgent dans le même temps, ils jouissent de leur vie, et considérent  leurs propres désirs comme le plus important. Ils croient obstinément qu’il est  est facile pour les gens de s’entendre les uns avec les autres. Ils sont toujours polis  même avec leurs ennemis.  Ils sont dégoûtés par les querelles et tout acte d’hostilité.

Les gens nés dans l’année du lapin donnent  aux autres l’impression d’être frêles en raison de leur aspect doux. Mais, en fait, ils sont forts d’esprit et ont une volonté forte. Ils poursuivent leurs idéaux toute leur vie d’une manière précise et ordonnée.

Il est également fréquent pour les gens d’avoir l’impression que les gens nés dans l’année du lapin ne pourrons  jamais faire du mal à d’autres personnes. Il est vrai qu’ils utilisent rarement des mots durs ou dire quoi que ce soit de grossier. Ils peuvent cacher leurs véritables traits par leur apparence décente quand ils sont  face à des adversaires, et ensuite leur faire du mal. Au moment où l’on découvre cela, ils devront vous trahir.

Parfois, les gens nés dans l’année du lapin font, les choses lentement et délibérément. Ils ont tout en main de manière circonspecte. C’est à cause de leurs caractères prudents. Ils  attendent  qu’on  leur donne beaucoup d’informations avant de signer tout contrat. Ils ont donc la capacité de bien évaluer, et sont capables de faire des évaluations lucides de la situation. Et ils sont très fiers de cela.

Une femme née en l’année du lapin sera sérieuse et attentionnée. Elle peut pardonner les erreurs de ses amis.  De façon générale, elle sera quelqu’un avec  qui on peut  bien s’entendre. Elle sera en bonne compagnie pour  faire du shopping ou  discuter. Elle est intelligente et chaleureuse. Rester avec elle sera une expérience heureuse. Elle va faire des choses qu’elle aime avec énergie, mais quand elle se sent fatiguée, elle mettra de côté le travail de côté pour s’en aller tranquillement.

Une femme née en l’année du lapin est belle et élégante, et elle préfère être mariée à un milliardaire conservateur plutôt qu’un bel homme sans le sou. Son mari doit être une personne qui peut fournir à ses conditions matérielles favorables, qui peut la protéger et de soutenir son style de vie luxueux, et qui peut sortir.

Si elle est capable de choisir son propre mode de vie, elle choisit la vie la plus confortable, elle peut.  Elle préférera toujours porter des vêtements amples et confortables, de bonne qualité. Elle apprécie l’harmonie et l’équilibre, tout en détestant la vantardise. Un homme né dans l’année du lapin est plein de sollicitude, raffinés et courtois. Il est d’une manière douce et se comporte  comme un gentleman. On admire son amabilité et son ingéniosité, et on sera prêts à suivre ses conseils avisés. Ses défauts sont: la pensée réaliste, forte sensibilité, de mordre, et ne pas être prêt à résister à la misère. En période d’urgence, il sera prêt à  d’abandonner toute personne qui ose troubler sa vie tranquille. Il est bien connu pour ses convictions flexibles et évolutives, et ses hautes compétences à maintenir un sentiment de sécurité.

Il n’y a pas besoin de s’inquiéter de la vie de ces personnes. Ils sont agiles, intelligents et bons pour  éviter de se nuire à eux-mêmes. Ils n’ont pas de nobles idéauxà défendre. Leur principal objectif dans la vie est de se préserver.

Les gens nés dans l’année du lapin sont très accueillants, de bons hôtes et compagnons chaleureux. Leurs paroles font  que tous se sentent heureux, mais vous ne devriez pas laisser les mots dépasser votre pensée. Ils se souviendront de vos erreurs, ainsi que vos points forts. Ils savent plus qu’ils ne nous le diront. Si votre faux-pas ne sont pas sérieux, ils vous pardonner. C’est pourquoi les gens comme eux. Cette philosophie de la vie les tient sans problèmes, parce que les gens leur pardonnent comme ils pardonnent aux autres.

Généralement, les gens nés dans l’année du lapin comprennent vraiment ce que signifie la vie. Ils tiennent pleinement compte de l’autre,pour le meilleur et pour le pire. Ils savent quand ils doivent s’abstenir.  Ils ne sont pas extravertis. Ils savent l’art de sauver la face et prenant en considération les intérêts des deux parties.

Source: Le Manuel de chinois Horoscope par Theodora Lau Publié par la flèche Livres Limited

Calendrier Feng Shui :Lien très complet pour comprendre l’incidence du Lapin sur votre signe chinois.

Bonne lecture, bon dimanche: Claude Sarfati

Un chemin qui a du coeur

chemin coeur

 

Toulouse n’a pas voulu de moi…

Comme Paris il y a quelques temps.

Il ne faut pas insister,

forcer les choses n’est pas mon chemin choisit.

Alors, je reste serein et je reviens… Moi-même:-)

49 rue du Faubourg Saint Antoine à Chalons en Champagne

03.26.65.78.32 c’est là que je suis….Bien:-)

 

Maxime Le Forestier, Passer ma route.

Amitiès: Claude Sarfati

L’ absence

absence3

Je vais être absent quelques jours pour préparer mon installation à Toulouse.

J’espère reprendre les consultations dés le début du mois de février.

Vous pouvez toujours réserver et faire votre tirage de Yi King sur mon site.

Pour plus d’informations, appelez-moi au : 06.59.45.03.09

 

Le tango lent de ton sang dans mes veines
J’entends battre ta vie plus que la mienne
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin
Le matin prend ma place et je m’éteins

Nulle envie, nulle pensée pour personne
L’absence a tout pris, que l’on me pardonne
Quand on n’est même plus la moitié d’un
Comme un billet déchiré ne vaut rien

Les saisons ne sont plus que de passage
Les couleurs ont déserté mes images
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras

Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras.

Jean-Jacques Goldman: L’absence.

à Dan;-)

A très bientôt : Claude Sarfati.