Le gouvernement du Mexique dévoile des pièces mayas prouvant le contact extra-terrestre

Pour ceux qui avaient encore des doutes en ce qui a trait aux contacts extra-terrestres avec nos anciennes civilisations, cette fois, on ne peut être plus clairs! Le gouvernement mexicain a frappé un grand coup dans l’histoire cachée de l’humanité. Dans la section archéologie oubliée, le pays dévoilera publiquement une série de pièces Mayas découvertes il y environ 80 ans par une équipe du National Institute of Anthropoly and History (INAH) sur le site de Calakmul au Mexique.

Ces pièces exceptionnelles ont déjà été présentées l’an dernier et feront l’objet d’un documentaire qui sortira cet automne et qui sera produit par Raul Julia-Levy et réalisé par Juan Carlos Rulfo, le gagnant du festival Sundance 2006 avec son film « In the pit ». Ce documentaire porte le nom provisoire « Revelations of the Mayans 2012 and beyond ».

L’une des pièces maîtresses dévoilées est un disque on ne peut plus explicite. On peut y voir clairement 4 engins, communément appelés OVNI, dont l’une démontre par une extraction, un astronaute (5) aux commandes de son engin (6). Les deux cercles au centre (1) sont présentement considérés comme une planète à atmosphère de par les deux cercles le suggérant et qu’on peut supposer être la Terre du fait de la présence d’un astre à proximité qui semble être la Lune. À droite, ce qui semble être une comète (3) avec un OVNI (2) dans son sciage, puis, à gauche, un autre engin (4) qui semble intervenir directement sur la comète comme porteur d’un bélier pour frapper la comète.

Une autre pièce fort intrigante semble représenter une éruption solaire. Le soleil envoie un jet de rayon vers la même planète à atmosphère, soit la Terre, événement régulièrement mesuré par la NASA dont vous pouvez suivre l’activité sur le site Space Weather. Trois Ovnis sont présents sur cet artefact dont l’un est directement dans le jet plasmique. Une autre planète est également présente, mais il est difficile de préciser laquelle de notre système solaire.

Cette pièce fort importante semble confirmer les informations que nous recevons par diverses canalisations et qui nous informent du rôle majeur du soleil dans les événements à venir . Celui-ci est la clé de notre élévation de conscience et cet artefact vieux de 1,300 ans semble nous l’indiquer. Les Mayas savaient que nous étions dans le 5e et dernier cycle de 5125 ans d’un plus grand cycle de 26,000 ans. C’est ce que leurs calendriers mesuraient. Par ailleurs, les scientifiques de la NASA prévoient une éruption majeure d’ici la fin de 2013 ce qui corrobore l’ensemble des informations obtenues.

Klauss Dona accompagné du Dr Nassim Haramein ont présenté des photographies de certaines pièces lors d’une conférence au Congresshalle à Saarbrücken en Allemagne, le 11 juin 2011. Vous trouverez au bas de cet article la référence aux extraits de cette conférence.

Les autres pièces sont des représentations qui ressemblent étrangement aux petits bonshommes E.T. que nous connaissons.

Ce qui est encore plus troublant sont les révélations du ministre du Tourisme mexicain, Luis Augusto Garcia Rosado qui déclare que :

1) La traduction de codex relate les contacts entre les extra-terrestres et le peuple Maya.
2) Des pistes d’atterrissage daté à 3,000 ans ont été trouvées dans la jungle.
3) Ils possèdent des preuves que les Mayas avaient l’intention de mener cette planète pour des milliers d’années, mais qu’ils ont été forcés de s’échapper après une invasion « d’êtres aux sombres intensions » laissant derrière eux les évidences d’une race hautement avancée.

Je crois qu’à l’approche de la date de fin de cycle du calendrier maya, les autorités mexicaines semblent avoir fait un examen de conscience dont le résultat a été d’informer le public. Je crois également qu’il s’agit du bon choix et que celui-ci devrait servir d’exemple pour les autres nations, je pense, entre autres, aux États-Unis où un changement d’attitude important s’impose.

N’oubliez pas que nous sommes à la période des révélations où tout ce qui était caché se dévoile. Les scandales de tout sort au même titre que l’archéologie cachée font partie de ce grand dévoilement. Si vous me demandez mon avis, je vous dirai que nous n’en sommes qu’au début des surprises de cette magnifique période qui s’ouvre à nous. Pour ceux dont ce dévoilement est un véritable choc, je vous implore d’ouvrir votre conscience, car vous n’êtes pas au bout de vos découvertes.

Article publié le 27 aout 2012

Références
Sources :
http://www.rtbf.be/info/medias/detail_un-documentaire-va-prouver-les-contacts-entre-mayas-et-extraterrestres?id=6837553
http://www.guardian.co.uk/film/2011/sep/29/mayan-documentary-alien-mexico
http://www.reuters.com/article/2011/09/26/idUS333894436320110926
http://www.thewrap.com/movies/column-post/guatemala-cooperate-doc-about-mayans-and-aliens-31162

Dr. Nassim Haramein: http://theresonanceproject.org/about/personnel/nassim-haramein

À propos de Klauss Dona : Voir mon article :http://inferenceplanetaire.wordpress.com/2012/01/29/les-pyramides-antiques-dans-le-monde/
Conférence de présentation, lien vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=glV-C7fqAX8&feature=player_embedded http://www.youtube.com/watch?v=EpHTMoPAil4&feature=player_embedded

Site de Calakmul (ou Kalakmul) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calakmul

INAH : http://www.inah.gob.mx/index.php/home

http://indicescibles.blogspot.fr

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Claude Sarfati

 

François

La papauté à l’heure d’une ère nouvelle

En élisant, mercredi 13 mars, le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio, les cardinaux ont signifié leur volonté d’ouvrir l’Église à de nouvelles dimensions.

 

Le choix du conclave prend acte des nouveaux équilibres géographiques du catholicisme, et pourrait marquer le début d’une nouvelle conception de la papauté.

En 1978, la papauté était sortie de l’Italie avec l’élection de Karol Wojtyla. Mercredi 13 mars, elle a pris les couleurs du monde avec celle du cardinal Bergoglio. « Le centre de gravité de l’Église a changé », notait, avant le conclave, le cardinal Walter Kasper, ancien président du Conseil pour l’unité des chrétiens. Ce centre n’est plus en Italie. Il n’est même plus en Europe. Désormais, 40 % des catholiques vivent dans cette Amérique latine dont le pape François est originaire. L’Église catholique est majoritairement une Église du Sud.

Il y a trente-cinq ans, avec un pape venu de l’autre côté du rideau de fer, en pleine guerre froide, l’Église s’inscrivait dans l’Histoire. Mercredi soir, elle a donné au monde un autre pape qui, de par son origine géographique, peut se faire la voix d’un Sud malmené par une mondialisation financière et économique dont il est plus victime qu’acteur.

Elle rappelle aussi l’importance que revêtent aujourd’hui pour elle ces terres sud-américaines. En effet, ce « continent de l’Espérance », selon l’expression de Jean-Paul II, est aussi celui de « tous les dangers » pour l’Église : depuis le début des années 1980, elle y a perdu un quart de ses fidèles, et doit faire face à la concurrence des communautés évangéliques plus attractives, et à un mouvement rude de sécularisation.

Le rôle du cardinal Bergoglio, comme président de la Conférence épiscopale argentine, et au niveau de l’ensemble de l’Église d’Amérique latine, a joué dans sa désignation comme successeur de Pierre. En 2007, lors de la rencontre des Églises d’Amérique latine à l’assemblée d’Aparecida, il est à l’origine de la nécessité de passer d’une Église « régulatrice » de la foi à une Église « facilitatrice » de la foi, afin de la remettre dans une dynamique d’évangélisation.

« L’option préférentielle » pour les pauvres

En se tournant vers le Sud, l’Église rappelle aussi sa priorité pour la charité et « l’option préférentielle » pour les pauvres. Lors des congrégations générales qui ont précédé le conclave, les cardinaux ont évoqué le besoin d’un message fort face à la crise économique et financière actuelle, tout comme ils ont fait part de leur inquiétude devant l’accroissement des situations de pauvreté. Mais pour que ce message puisse aujourd’hui être entendu, il était aussi important que l’institution ecclésiale adopte un comportement cohérent.

La simplicité du nouveau pape, son style de vie modeste devraient aller dans ce sens. Les cardinaux, expliquait le P. Federico Lombardi, porte-parole du Saint-Siège, ont souligné l’urgence d’une annonce positive de la miséricorde et de la charité : « Il faut que l’on puisse parler en langage accessible à tout le monde. » En proposant mercredi soir au peuple de Rome de réciter ensemble les deux prières les plus simples et les plus connues des catholiques, le pape François semble avoir entendu la demande…

« Guérir son Église »

C’est d’ailleurs à travers ce retour à la pauvreté évangélique qu’il devrait procéder pour la réforme de la Curie. Le pape argentin ne répondra pas en manager à la crise du gouvernement interne de l’Église. Mais plutôt en… pape, c’est-à-dire selon les critères de l’Évangile. « Il faut faire la différence entre l’amélioration des méthodes de gouvernement, et une transformation profonde de l’esprit dans lequel est mené ce gouvernement », souligne un cardinal. François d’Assise n’est pas seulement celui qui a fait le choix de la pauvreté. Il est aussi le saint qui, en songe, a vu Dieu lui demander de « guérir son Église » à l’époque où la papauté était en proie aux intrigues et scandales d’argent. Voilà qui conforte l’idée d’un « ticket » que le pape devra former avec son « premier ministre », le secrétaire d’État. C’est à ce dernier, qui pourrait être un Italien, qu’il reviendra, dans la ligne fixée par le pape, de « manager » et mettre de l’ordre dans les affaires internes de l’Église.

Après un homme de Curie comme Benoît XVI en 2005, le conclave de 2013 s’est donc porté sur un pasteur, avec une solide expérience de terrain, celle d’une grande métropole. Les cardinaux ont fait ainsi le choix d’une papauté qui respecte mieux les initiatives de terrain, les besoins de chaque pays, chaque culture. « Il faut faire droit à une certaine casuistique, confiait avant le conclave le cardinal Vingt-Trois, pour tenir compte des situations pastorales des personnes, dans des pays et contextes donnés. » « Benoît XVI avait mis l’accent sur la foi comme vérité, observe de son côté le prieur de Bose, Enzo Bianchi. Le nouveau pape devrait insister sur la foi comme une pratique. » De fait, lors du pré-conclave, l’idée d’un juste milieu entre une « orthodoxie » et une « orthopraxis » pour la mise en œuvre de l’Évangile est souvent revenue dans les discussions.

Les cardinaux du terrain ont fait entendre leur voix

Dans ce conclave, les cardinaux du terrain – par opposition à ceux de la Curie – ont donc fait entendre leur voix. Il a été ainsi question d’une meilleure collégialité, c’est-à-dire concertation et collaboration, entre l’évêque de Rome et les évêques locaux. Réunir régulièrement les présidents des conférences épiscopales, mieux organiser le dialogue lors des synodes : autant de demandes, souvent revenues dans la salle Paul-VI, qui auront pesé dans l’élection.

Là encore, les premiers gestes du pape François sont autant de signes : la référence à Ignace d’Antioche (affirmant que l’Église de Rome « préside à la charité »), l’accent mis sur son rôle d’évêque de Rome, le fait d’appeler Benoît XVI « évêque émérite », et non pape émérite, et les autres cardinaux ses « frères », ou bien la demande faite aux Romains de « cheminer ensemble », ce qui n’est qu’une autre manière de dire la synodalité.

Le pape est évêque de Rome, « primus inter pares », chargé au milieu d’eux d’assurer l’unité de l’Église, et non le super-patron de l’Église universelle. C’est toute la conception de la papauté qui est en train de se modifier profondément, en ce début de troisième millénaire, conformément aux jalons posés par le concile Vatican II.

« La papauté ne sera plus jamais comme avant »

D’une certaine manière, en élisant François, les cardinaux ont relayé le geste prophétique de Benoît XVI de renoncer à sa charge pontificale, il y a un mois. « La papauté ne sera plus jamais comme avant », confiait le cardinal Roger Etchegaray, comparant la décision de Benoît XVI à l’encyclique de Jean-Paul II, Ut unum sint, où le pape polonais avait mis son autorité en jeu pour favoriser l’unité des Églises chrétiennes.

Réfléchissant aux dysfonctionnements de gouvernement qu’il rencontrait, Benoît XVI avait eu l’extrême humilité de reconnaître que ce pouvait être lui l’obstacle au changement, trop âgé et fatigué, devenu une « pierre sur laquelle on trébuche » comme il l’avait dit dans son homélie du 29 juin 2012, en jouant sur les deux sens du mot Pierre.

Désormais, le service du pape est plus grand que la personne qu’il incarne. Avec François, on voit que cette évolution ouvre de nouvelles perspectives en matière de gouvernance et de relations avec les autres confessions chrétiennes. Mercredi soir, l’Église catholique a pris le chemin du large.

Isabelle de Gaulmyn

Source: La croix

Amitiés: Claude Sarfati

Il faut lancer l’attaque sur tous les fronts

 

Hélas! le remède à ce comportement insensé ne sera pas trouvé dans la seule psychologie. Le problème est excessivement complexe et il doit être attaqué, s’il l’est jamais, sur plusieurs fronts simultanés. Sur le front sémantique, car il dépend d’un langage mal employé et de croyances primitives; sur le front administratif, car il comprend le fait brutal du pouvoir et tous les problèmes de son contrôle; sur le front philosophique, car notre conduite politique est influencée par nos conceptions de la nature humaine; sur le front biologique, car il est obligé de faire face aux terribles phénomènes de l’accroissement démographique et du déséquilibre des ressources.

Une attaque coordonnée sur tous ces fronts sera difficile à lancer et encore plus à soutenir. Etant donné l’inertie individuelle et collective, pouvons-nous faire ce qui doit être fait dans le bref délai que l’histoire moderne nous accorde? Au niveau international, la fin de certaines de nos douleurs est possible. Est-elle probable? Toutes les nations, tous leurs chefs, sont appelés. Avant qu’il ne soit trop tard, choisiront-ils d’être choisis?

Aldous Huxley

Quelle formidable machine que l’homme!

Revue Planète 1962.

 

Amitiés: Claude Sarfati

L’amour que l’on appelle

Ne chantez pas la Mort, c’est un sujet morbide
Le mot seul jette un froid, aussitôt qu’il est dit
Les gens du « show-business » vous prédiront le « bide »
C’est un sujet tabou… Pour poète maudit
La Mort!
La Mort!
Je la chante et, dès lors, miracle des voyelles
Il semble que la Mort est la sœur de l’amour
La Mort qui nous attend, l’amour que l’on appelle
Et si lui ne vient pas, elle viendra toujours
La Mort
La Mort…

La mienne n’aura pas, comme dans le Larousse
Un squelette, un linceul, dans la main une faux
Mais, fille de vingt ans à chevelure rousse
En voile de mariée, elle aura ce qu’il faut
La Mort
La Mort…
De grands yeux d’océan, une voix d’ingénue
Un sourire d’enfant sur des lèvres carmin
Douce, elle apaisera sur sa poitrine nue
Mes paupières brûlées, ma gueule en parchemin
La Mort
La Mort…

« Requiem » de Mozart et non « Danse Macabre »
(Pauvre valse musette au musée de Saint-Saëns!)
La Mort c’est la beauté, c’est l’éclair vif du sabre
C’est le doux penthotal de l’esprit et des sens
La Mort
La Mort…
Et n’allez pas confondre et l’effet et la cause
La Mort est délivrance, elle sait que le Temps
Quotidiennement nous vole quelque chose
La poignée de cheveux et l’ivoire des dents
La Mort
La Mort…

 Elle est Euthanasie, la suprême infirmière
Elle survient, à temps, pour arrêter ce jeu
Près du soldat blessé dans la boue des rizières
Chez le vieillard glacé dans la chambre sans feu
La Mort
La Mort…
Le Temps, c’est le tic-tac monstrueux de la montre
La Mort, c’est l’infini dans son éternité
Mais qu’advient-il de ceux qui vont à sa rencontre?
Comme on gagne sa vie, nous faut-il mériter
La Mort
La Mort…

La Mort?…

NE CHANTEZ PAS LA MORT

Texte de Jean-Roger Caussimon

Musique, interprétation de Léo Ferré

Chaque année, pour le jour des morts, je poste un Instant, un Murmure, un Silence

Dia de muertos

Celui-ci est de Jean-Roger Caussimon, le meilleur copain de Léo…

La mort qui nous attend, L’amour que l’on appelle…

No se puede vivir sin amar… (on ne peut pas vivre sans aimer) Malcom Lowry

Amitiés: Claude Sarfati

La béatification du Pape Jean Paul II

 

Dimanche premier mai, aura lieu la béatification de Jean Paul II à Rome.

Qu’est-ce une béatification? Comment cela se passe?

Karol Józef Wojtyła, devenu le pape Jean Paul II, va être béatifié dimanche prochain, six ans après sa mort. Près de 300.000 personnes sont attendues à Rome pour cet événement.

Qu’est-ce qu’une béatification?

La béatification est un «acte solennel par lequel le pape, usant de sa propre autorité, proclame bienheureuse une personne décédée», selon le dictionnaire Le Trésor de la langue française. Pour être proclamé bienheureux, le chrétien ou la chrétienne aura exercé sa foi de manière exemplaire ou héroïque durant sa vie. La validation d’un miracle est aussi nécessaire: Dans le cas de Jean Paul II, le miracle concerne une religieuse française. La sœur Marie Simon-Pierre, qui était atteinte de la maladie de Parkinson, a guéri soudainement.

Est-ce que Jean Paul II  va devenir un saint?

La béatification est différente de la canonisation, un rituel par lequel le bienheureux devient un saint. Pour que Jean Paul II devienne saint, il faudrait qu’un second miracle lui soit attribué.

Pourquoi une béatification six ans après sa mort?

Fait exceptionnel, Jean Paul II devient bienheureux six ans et un mois seulement après sa mort, survenue le 2 avril 2005. Ce jour-là, ses fidèles réclament sa sanctification immédiate, en criant notamment «Santo subito». Le pape actuel, Benoît XVI, n’a pas attendu cinq ans pour commencer l’examen du cas de Jean Paul II, ce qui est la règle. Pour quelles raisons? Jean Paul II a été un pape exceptionnel, tant par la longévité de son pontificat, 27 ans, que pour ses nombreuses actions politiques.

Comment se déroulent les manifestations?

Les manifestations se passent sur plusieurs jours, de vendredi à dimanche .  Vendredi, la tombe de Jean Paul II va être ouverte et son cercueil porté au centre de la basilique Saint-Pierre.

Samedi soir, une veillée se tiendra dans le centre de Rome, avec la tenue d’une célébration et des prières. A la fin de la veillée, les fidèles pourront faire, s’ils le souhaitent, une «Nuit blanche de la prière».

Un parcours balisé, menant à différentes églises de Rome, les conduiront progressivement vers la basilique Saint-Pierre. Les églises proposeront des accueils, et les transports en communs fonctionneront presque toute la nuit de samedi à dimanche.

Dimanche matin, devant tous les fidèles, une invocation se tiendra à 9h, avant une messe, qui débutera à 10h. A la fin de la célébration, Benoît XVI, le pape actuel, se recueillera devant le cercueil de Jean Paul II. Les fidèles pourront ensuite défiler silencieusement devant la dépouille du nouveau bienheureux.

Une relique de Jean Paul II, constituée d’une ampoule de son sang, va être également exposée dans un reliquaire.

Combien ça coûte ?

Lors d’une récente conférence de presse conjointe avec le cardinal Agostino Vallini, vicaire de Rome, le maire de Rome, Gianni Alemanno a évalué à 3,5 millions d’euros le coût des trois jours -le 30 avril, les 1er et 2 mai- qui verront se dérouler à la fois la béatification et la Fête annuelle du travail, avec les traditionnels concerts organisés par les syndicats.

Concernant l’affluence prévue pour cette béatification, 300.000 pèlerins et visiteurs sont annoncés par l’Œuvre romaine des pèlerinages, l’institution organisatrice de l’événement pour le Vatican.

Que vont faire les autorités françaises?

Le président de la République n’assistera à la cérémonie de béatification, contrairement à ce qu’il avait un temps envisagé. C’est le Premier ministre François Fillon qui représentera la France à cette béatification, car «la France est la fille aînée de l’église», a récemment déclaré le porte-parole du gouvernement François Baroin.

Une position qui a fait bondir l’opposition. Le PS a jugé récemment cette décision de la France «particulièrement choquante», car «la France n’est pas la fille aînée de l’Eglise, c’est «une République laïque».

Hormis le président italien Giorgio Napolitano et le président polonais Bronislaw Komorowski, aucun autre chef d’Etat étranger ne devrait être présent à Rome pour la cérémonie.

Vous pouvez suivre toutes les manifestations liées à cet évenement sur: Ktotv

Amitiés: Claude Sarfati