Souviens-toi Barbara

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A travers son « costume » de la dame en noir, Barbara s’est construit un personnage unique et mystérieux. S’inspirant de ses expériences personnelles et de sa vie pour écrire et composer les chansons qu’elle interprète, la « dame brune » s’est beaucoup contée et confiée dans ses textes. Dans « mon enfance« , « Nantes » et « L’aigle noir », elle raconte respectivement certains épisodes de sa vie : les souvenirs de l’occupation, la mort de son père, l’inceste paternel. Elle a également beaucoup donné à son public a qui elle a livré « sa plus belle histoire d’amour« .

L’apprentissage d’une vie d’artiste

De son vrai nom, Monique Serf, Barbara naît à Paris non loin du Square des Batignoles. Elle est le deuxième enfant d’une famille qui en compte quatre. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, la famille Serf, de confession juive, est contrainte d’errer d’hôtel en hôtel pour fuir l’oppression allemande et se réfugie dans la commune de Saint-Marcelin, en Isère. A la libération, ils s’installent dans une pension du Vesinet, où la future Barbara fait la connaissance de sa voisine, professeur de chant. A son contact, elle apprend le chant, le solfège et le piano et décide de s’inscrire à l’Ecole Supérieure de Musique. Elle y obtient son premier prix de chant et commence à écrire ses premiers textes.

En 1947, elle accède au Conservatoire de Paris où elle étudie entres autres les œuvre de Debussy et Schumann. Dans le même temps, elle est mannequin-choriste dans le spectacle Violettes impériales, joué au théâtre Mogador. Classé Mezzo Soprano, elle quitte rapidement le Conservatoire pour tenter sa chance dans les cabarets parisiens, sans succès. En 1949, elle fait la rencontre des frères Prévert mais les spectacles de « La fontaine des quatre saisons » sont bouclés. Ils lui offrent malgré tout un emploi de plongeuse et Barbara voit défiler la vie artistique de tout Paris (Boris Vian, Mouloudji).

De 1950 à 1952, elle s’exile alors en Belgique. Elle y fait la rencontre d’artistes et de peintres qui vivent dans une belle maison, transformée en ateliers. Ils lui installeront un piano et elle jouera quelques soirs de la semaine devant un public majoritairement étudiant. A la suite de cette aventure, elle ouvre son propre cabaret « Le cheval blanc ».  Elle monte pour la première fois sur scène accompagnée de son piano, vêtue d’un châle noir et maquillée de Kohl. Ainsi commence à se construire le personnage de la « dame en noir ».

La voie du succès

De retour à Paris, elle passe une audition pour le cabaret de « L’écluse« . Sous le nom de scène « La chanteuse de minuit », elle fera les bonheurs du cabaret pendant dix années. Lors de ses tours de chant, elle interprète les chansons de FerréMoustaki, Brassens et teste timidement ses premières compositions « Nantes« , « Chapeau bas » et l’émouvant « Dis, quand reviendras-tu? ». Soixante spectateurs quotidiens viennent l’acclamer chaque jour. Elle dira d’eux qu’ils ont fait sa force et que ce sont eux qui « l’ont mené au Chapiteau de Pantin« . En 1960, elle sort son premier disque chez Odéon, Barbara chante Georges Brassens et est primée pour son interprétation par l’Académie du Disque Français.

Mais c’est sa rencontre avec Louis Hazan, le directeur de Philips, qui va donner un véritable élan à sa carrière. En 1963, sur l’album Barbara chante Barbara, récompensé par le prix de l’académie Charles Cros, elle interprète pour la première fois ses compositions dont « Au bois de Saint Amand » et « Nantes ». C’est le début d’une seconde carrière. Elle fait tout d’abord les premières parties de Georges Brassens et de Serges Gainsbourg avant de s’afficher en lettres lumineuses dans des salles prestigieuses. En septembre 1965, elle est la vedette de Bobino. Bouleversée par l’accueil du public qui lui lance des roses sur scène, elle lui écrit sa plus belle déclaration « Ma plus belle histoire d’amour« , qui paraîtra le 7 novembre 1967 sur l’album éponyme Barbara.

Elle, qui a toujours vécu sans attache, de voyages en voyages, tournent à l’étranger. Elle se produit à Milan, à Bruxelles et au Canada. Le 22 janvier 1968, elle monte sur la scène de l’Olympia pour un récital unique. Le concert est retransmis en direct sur Europe 1. La même année, Georges Moustakicompose pour Barbara « La dame brune »Cette chanson lie les deux artistes qui la chantent, début février 69, sur la scène de l’Olympia, pour un duo qu’ils reproduisent plusieurs soirs. Barbara est alors au sommet de son art. Pourtant, lors de son dernier soir sur cette scène mythique, elle annonce sa décision d’arrêter la scène.

 

Le mal de vivre

Un an plus tard, elle fait son retour avec L’aigle noir, autoportrait intimiste. Ce titre est l’un des tubes de l’été 70 mais le véritable sens de ce texte sera dévoilé bien plus tard. Parallèlement, elle se lance dans l’art dramatique avec un succès confidentiel. Pendant 30 représentations, elle joue le rôle d’une prostituée partie chercher le grand amour en Afrique dans la pièce de théatre Madame et compose la bande son de celle-ci. Elle donne également la réplique à son ami Jacques Brel dans le film Franz, réalisé par le chanteur et obtient un rôle dans L’oiseau rare de Jacques Brialy. Mais le cinéma n’est définitivement pas pour elle. C’est la chanson qui lui offre ses plus belles émotions. Au cours de la décennie, elle enregistre trois nouveaux disques, La fleur d’amour (1971), Amours incestueuses (1972), La louve (1973) et collabore ainsi avec de nouveaux artistes comme William Sheller et Catherine Lara.

C’est au cours de l’année 1973 qu’elle tombe sous le charme d’une maison à Précy en Seine-et-Marne. Barbara se décide enfin à poser ses valises dans un endroit qui lui ressemble. Elle y installe son piano, son rocking chair et peut s’adonner pendant ses insomnies à l’écriture et à la composition. Elle qui n’avait pas connu de jardin, depuis son enfance à Saint-Marcellin, s’inspire de cet endroit pour créer le titre « Précy Jardin » qui figurera en 1981 sur son album Seule. Ce titre résume peut être le mieux l’image de la chanteuse, personnage solitaire que l’on connaît peu. En effet, Derrière la diva insaisissable se cache une femme blessée par l’enfance et tourmentée par ses nuits d’insomnie. En 1974, elle tente de se suicider et est retrouvée inanimée dans sa maison de Précy.

Une femme de passion et de cœur

Après cet épisode, elle, qui avait déclaré ne plus jamais refaire de scène, rompt ce serment et fait sa rentrée au « Théâtre des variétés« . Puis, elle tourne au Japon, au Canada, en Belgique, en Israël, aux Pays-Bas et en Suisse. En 1981, elle fait un triomphe à Pantin. Sous un chapiteau dressé sur l’hippodrome, elle chante pendant plus d’un mois pour 100 000 spectateurs et délivre le dernier jour un nouveau titre « Pantin ». C’est durant ce véritable marathon qu’elle se casse irrémédiablement la voix. Cette fragilité accroîtra l’intensité de ses futures prestations. Elle y rencontre également le comédien Gérard Depardieu. Ensemble, ils se consacrent à la création d’une comédie musicale Lily Passion, œuvre en partie autobiographique. La première a lieu le 21 janvier 1986 au Zénith de Paris. Cette comédie partage la critique et les fans.

Dans les dernières années de son existence, Barbara, qui trouvait l’inspiration dans les différentes étapes de sa vie commence à écrire sur des thèmes qui lui tiennent à cœur. Lors de son spectacle de 1987 au Chatelet, elle est l’une des premières artistes à s’engager contre le SIDA en interprétant la chanson « Sid’amour à mort ». Lorsqu’elle part ensuite en tournée, elle distribue des préservatifs à la fin de ses concerts. Elle visite également régulièrement les malades et ira jusqu’à installer une ligne téléphonique chez elle pour répondre aux personnes en détresse. Barbara était une femme généreuse qui poursuivait son combat contre l’intolérance hors caméra.

En 1990, elle commence une série de concerts au théâtre de Mogador à Paris. Mais ses derniers adieux à la scène se feront trois ans plus tard au Châtelet. Elle retrouve sa voix d’antan mais sa santé fragile l’oblige à écourter les représentations. Son dernier album paraît en 1996 et s’intitule sobrement Barbara 96. Le succès critique et public est unanime mais les problèmes respiratoires de la « dame en noir » la contraignent à se retirer dans sa maison de Précy. Elle se consacre à ses mémoires qui resteront inachevées et à des engagements qui lui tiennent à cœur. Elle donne les droit à vie de sa chanson « Le couloir » à l’association Act Up et se rend régulièrement dans les prisons soutenir les détenus. Le 24 novembre 1997, elle est hospitalisée et décède le lendemain d’une pneumonie.

Source: Encyclopédie L’internaute.

Barbara est aussi l’auteur d’un livre: Il était un piano noir…

Présentation de l’éditeur

Plus jamais je ne rentrerai en scène.Je ne chanterai jamais plus…Sur cet aveu de désespoir de celle qui disait à son public « Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous » s’ouvrent ces Mémoires, que la mort – survenue en novembre 1997 – ne lui laissa pas le temps d’achever.Nous y rencontrons la petite fille des Batignolles, qu’une enfance vagabonde, sur fond d’Occupation, amènera notamment à Marseille, à Tarbes, à Saint-Marcellin, avant le retour à Paris. Puis la jeune fille qui, bravant la misère et les déceptions, poursuivra obstinément son rêve : chanter, devant un piano noir, jusqu’aux débuts à L’écluse, aux premiers succès, aux tournées…Témoignage sensible et vrai sur un métier, la chanson, ce livre est aussi et avant tout l’autoportrait d’une femme rebelle, artiste, solitaire malgré l’adulation de ses fans, et qui aura retenu jusqu’au bout quelques aveux déchirants, livrés dans ces pages.
Voilà un article que j’ai voulu le plus complet possible sur une artiste qui m’a accompagné aux quatre coins du monde, aux quatre coins de ma vie.
Amitiés, bonne lecture, bonne écoute: Claude Sarfati

La nourriture équitable selon le Mahatma Gandhi

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Selon Gandhi, le sucre de fleur de coco serait une façon de résoudre la pauvreté dans le monde et un contrepoison à la misère.

“Le jus de noix de coco peut être transformé en sucre, aussi doux que du miel… La nature a créé ce produit de façon à ce qu’il ne puisse être retraité dans les usines. On ne peut produire du sucre de palme que là où il y a des palmiers. La population locale peut aisément transformer ce nectar en sucre de fleur de coco. C’est une façon de résoudre la pauvreté sur terre. C’est aussi un contrepoison à la misère.” Gandhi 3.5.1939

Mahatma Gandhi s’est beaucoup intéressé à l’alimentation et aux aliments. Il était végétarien et son régime se composait généralement d’un litre de lait de chèvre, de 150 g de froment et de riz, de 225 g de légumes, 75 de légumes verts et 25 g de salade, de 40 g de thé et entre 40 et 50 g de sucre de fleur de coco.

À Kulon Progo, les cocotiers représentent le revenu d’appoint de 2000 familles. Sucre de fleur de coco (sucre de coco bio).

Pour son sucre de fleur de coco, Amanprana collabore avec Lestari Mandiri, Fairworld et Hivos. Lestari est une association qui défend les intérêts des petits paysans et de leurs familles, au centre de l’île de Java. Hivos est une organisation humanitaire qui oeuvre pour un monde plus juste, plus libre et plus propre ainsi que pour des chances égales. Dans la province de Kulon Progo, au centre de l’île de Java, où est active l’une des associations paysannes de Lestari, nous travaillons également avec Fairworld, qui veille à ce que la récolte et la production de notre sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) respectent les principes de l’agriculture biologique et du commerce équitable. Tous deux sont membres d’Organic Alliance, un organisme qui s’efforce d’introduire le principe bio en Indonésie. Ensemble, nous essayons de donner un revenu d’appoint à 2000 familles de Kulon Progo et à protéger leur éco habitat. Les cocotiers leur garantissent une récolte.

En travaillant directement avec ces producteurs de sucre, nous leur assurons un revenu équitable et certifions la qualité de notre sucre. Ces exploitants ont équipé leurs chaumières d’une petite cuisine afin de perpétuer la tradition de la production à échelle réduite de sucre de fleur de coco (sucre de coco bio). Grâce au soutien de Hivos et de Lestari, nous garantissons une production propre, de qualité et sans éléments contaminants. Les revenus de la culture et de la récolte de la production restent ainsi dans la communauté locale. Les ONG Lestari et Hivos se portent garantes de la transparence des processus, de la qualité et de l’engagement social. Notre action permet de doubler pratiquement le revenu de ces petits exploitants. Dans cette région du globe, le sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) est la méthode la plus adaptée de favoriser la vie de la population locale et de protéger son habitat. Un ménage moyen compte entre 10 et 30 cocotiers, ce qui représente une production annuelle moyenne de 18 à 54 tonnes de jus ou 2,5 à 7,5 tonnes de sucre de fleur de coco (si la culture se fait toute l’année). Mais en général, elle se limite à un semestre.

Un ménage moyen compte entre 10 et 30 cocotiers, ce qui représente une production annuelle moyenne de 18 à 54 tonnes de jus ou 2,5 à 7,5 tonnes de sucre de fleur de coco (si la culture se fait toute l’année). Mais en général, elle se limite à un semestre.

Selon la FAO (Food & Agriculture Organization), le sucre de fleur de coco est le sucre le plus durable (Le sucre de fleur de coco est une sorte de sucre de palme)

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) de la Banque Mondiale considère que le sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) est le plus durable de tous. Son rendement est bien supérieur au sucre de canne et il consomme 20 % de ressources en moins. En outre, le cocotier, ou cocos nucifera, a besoin de peu d’eau.

Le sucre de fleur de coco d’amanprana est produit par de petits exploitants à des prix équitables. Grâce à l’association paysanne Lestari Mandiri et à Amanprana, ils ont accès au commerce mondial, à des formations et un appui social.

Gula java d’Amanprana est un sucre de palme sain qui profite à la fois aux consommateurs et aux petits paysans, leurs familles et l’écosystème local. Le sucre de fleur de coco est en d’autres termes un élément de premier ordre pour la santé et le développement du commerce équitable en Indonésie.

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Le cocotier Cocos nucifera, « arbre de vie », apporte bien-être et prospérité aux communautés traditionnelles 12 mois par an

Dans de nombreux endroits du monde, le cocotier est appelé « arbre de vie ». Les communautés traditionnelles l’exploitent pour en faire des centaines de produits dérivés. Amanprana commercialise le sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) pour rapprocher le consommateur de la sagesse et de la tradition des cultures ancestrales. Jamais le commerce du sucre de palme n’a été entaché d’esclavage ni de conflits, comme cela fut le cas pour le sucre de canne ou de betteraves sucrières. Autrement dit, c’est probablement l’un des sucres les plus « pacifiques » au monde.

Le cocotier peut apporter un revenu à une famille pendant toute l’année, chaque arbre donnant de 8 à 15 floraisons par an. Les noix apportent de l’eau, de l’huile, du lait, du féculent et de la chair de coco. La fleur de coco est utilisée pour produire du jus, qui une fois épaissi, se transforme en sucre, ou après fermentation, en vin, vinaigre ou alcool. En outre, le cocos nucifera est une source précieuse de matériaux pour la construction de maisons, par exemple les feuilles pour les toitures et le bois pour le mobilier, les couverts etc. Même les fibres sont récupérées pour le tissage,les tapis et le tourbe. Bref, rien ne se perd.

Le cocos nucifera produit des fleurs pour la première fois après 15 ans, puis pendant 70 années consécutives. À chaque floraison, le producteur peut extraire du jus pendant deux à trois mois, à raison de 5 kg de jus par jour ayant une teneur en sucre de 13,5 %. Certains arbres, les plus productifs, donnent jusque 25 kilos de jus par jour. La teneur en glucose varie de 2 à 18 %, de 2 à 25 % pour le fructose. La matière sèche du jus peut contenir de 66 à 94 % de saccharose.

Tout cela dépend bien entendu des saisons, de la localisation géographique et des talents du cultivateur. L’arbre croît le mieux dans les zones sablonneuses ayant une valeur pH de 5,5. Globalement, on estime qu’un hectare de cocotier peut produire 160 000 tonnes de jus de coco ou 21 600 tonnes de sucre de fleur de coco. Le cocos nucifera permet aussi l’oxydation de l’azote dans le sol pour empêcher l’érosion. Les racines du cocotier s’enfoncent jusqu’à 15 m.

Source: noble house

 

Bonne lecture, bon dimanche: Claude Sarfati.

La première nourriture

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Liquide amniotique

 Liquide clair dans lequel baigne le fœtus à l’intérieur de l’utérus d’une femme enceinte. Ce liquide possède de nombreuses propriétés de protection de l’enfant : contre les écarts de température, les infections, les chocs extérieurs. Constitué d’eau, transparent, le liquide amniotique contient également des cellules du fœtus (amniocytes). Ce liquide, dont le volume augmente progressivement au cours de la grossesse, est fabriqué par les membranes qui entourent le fœtus mais contient également de l’urine du fœtus et du liquide provenant de ses poumons.
Constamment renouvelé, le liquide amniotique est avalé par le fœtus puis éliminé par l’intermédiaire de ses urines.
Au moment de l’accouchement, ce liquide s’échappe, après la rupture de la poche des eaux (amnios), qu’elle soit spontanée aux provoquée, et permet ainsi la lubrification des voies génitales facilitant le passage de l’enfant à travers celles-ci. L’examen du liquide amniotique à l’intérieur de l’utérus de la femme enceinte s’effectue grâce à l’utilisation d’un instrument appelé amnioscope. L’amnioscopie permet de déceler une coloration anormale du liquide amniotique. En effet, si celui-ci présente un aspect verdâtre, c’est la traduction de l’émission de méconium (qui est la première selle du fœtus), dans le liquide amniotique, ce qui indique une souffrance foetale. L’accouchement devra alors être provoqué par rupture de la poche des eaux en utilisant une pince.
L’amniocentèse, qui consiste en un prélèvement de liquide amniotique à travers les parois abdominale puis utérine, permet l’étude cytologique c’est-à-dire des cellules qu’il contient. Cette étude permet la visualisation des chromosomes et ainsi d’éventuelles malformations fœtales. L’échographie, qui est l’examen actuellement incontournable en gynécologie, détermine avec précision la quantité du liquide amniotique chez une femme enceinte. Celle-ci, en fin de grossesse est de 1 litre et demi. Elle peut apparaître en excès (on parle alors d’hydramnios) ou en insuffisance (oligoamnios).
L’oligoamnios traduit généralement une malformation du fœtus, l’hydramnios se rencontre essentiellement chez les femmes enceintes diabétiques, ou porteuses d’enfants diabétiques, ou atteintes de malformations digestives.

Source: www.vulgaris-medical.com


 

L’odyssée de la vie de Jacques Perrin (extrait)

Voilà une définition très scientifique de notre première nourriture,

elle ne manque pourtant pas de poésie et de magie…

Bonne lecture, bon dimanche: Claude Sarfati.

Journée mondiale du refus de la misère

Amnesty

Depuis 1987, cette journée crée à l’initiative du mouvement ATD Quart-Monde (Aide à Toute Détresse Quart-Monde), permet au grand public d’entendre la parole des plus démunis et de s’engager avec eux pour combattre la misère.

Le message proclamé tous les 17 octobre et qui est gravé sur la dalle du parvis du Trocadéro est le suivant : « Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les Droits de l’Homme sont violés. S’unir…

pour les faire respecter est un devoir sacré »
En 1992, cette journée a été reconnue par les Nations unies.
Elle est célébrée dans le monde entier, au-delà du Mouvement ATD Quart Monde.
Cette année encore, Amnesty International France, ATD Quart-Monde et le Secours Catholique Caritas France s’associent pour faire avancer les droits de tous au travers de différentes initiatives et surtout d’un projet commun autour des COMITES SOLIDAIRES POUR LES DROITS.
Dans toute la France, des évènements sont organisés à l’occasion de cette journée.

A Paris, le 17 octobre 2010 se déroulera sur le Parvis des droits de l’homme, le Trocadéro, de 11h du matin à 20h ; un atelier « oui au logement social ! Monsieur le Maire je vous soutiens » sera proposé place du Trocadéro, à côté de l’exposition Dignité (version mobile), animée par des militants d’AIF.

 

Musique et paroles: Georges Chelon, Crève misère

Images

Bien amicalement: Claude Sarfati

Un artiste, c’est quelqu’un qui à mal aux autres (Jacques Brel)

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Le 9 octobre 1978 à 4h10 Jacques Brel s’en est allé.

J’avais déjà publié un article en 2008, il y avait déjà trente ans qu’il était mort.

Aujourd’hui, il aurait plus de 80 ans, quel regard aurait-il sur les hommes contemporains?

Ce samedi, ayons une pensée d’amour pour cet artiste Belge  jamais égalé.

 

Et puis cet inédit qu’il n’a pas eu le temps de dire…

 

Bonne écoute, bon week end: Claude Sarfati